
Les morts de sarkozy et de ses collabos
Les morts de sarkozy
Sarkozy hait la france et sa population, il n’aime que lui-même, son fric et son illusoire prestige.
En adoptant les politiques économiques et internationales des usa donc en appliquant les politiques économiques de la triade OMC, FMI et Banque Mondiale (qui sont sous controle étatsunien), il déclare la guerre aux français eux mêmes !
Grâce à ce genre de politiques, les émeutes de la faim et les famines sont de retour encore plus violemment qu’avant !!
En effet, il détruit tout le système de libertés en fichant un maximum de gens y compris les bénévoles des associations (fichier edvige), en utilisant la force policière pour ficher génétiquement le plus possible de populations et en emprisonnant nos enfants mineurs,
Il fait effectuer des descentes jusque dans les maternelles. Des personnes se tuent en se jettant par les fenêtres à cause de lui et c’est directement sa faute et ses responsabilités.
Notre démocratie est devenue une démocratie bananière au service des plus riches, industriels ou financiers.
Combien de suicides de désespoir financier rien que cette dernière année ??
Il détruit tout le système d’égalité en amplifiant volontairement le fossé entre les riches et les plus pauvres qu’il stigmatise et "criminalise", considérant qu’être pauvre et/ou chômeur c’est être un criminel.
Il détruit tout le système de fraternité en supprimant les impôts aux plus riches et aux patrons, ce qui redonne plus d’argent au capital et achève nos sécurités sociales, nos accès aux soins, nos accès aussi à la justice qui est devenue la justice des riches uniquement.
Tout comme ses prédécesseurs, il détruit aussi le sol, l’eau et la santé des françaisEs en autorisant et laissant faire les industriels pollueurs qui eux ne sont jamais taxés ni inquiétés. L’écologie est un vain mot bafoué par un grenelle de fanfaronnade comme tous les mensonges d’état dont il fait preuve. Il vend à l’étranger des tas de centrales nucléaires dangereuses pour la population et pas seulement pour les bombes nucléaires qu’elles peuvent produire !!
Il protège les criminels financiers mafieux à col blanc en détournant l’attention du public et criminalisant au maximum les petits faits divers.
NON à la guerre
Aujoud’hui ce sont 10 militaires fançais qui ont été tués en afghanistan et plus de 20 blessés. Le témoignage poignant d’une mère d’un de ces soldats qui raconte que ce jeune homme n’était engagé que depuis 1 an à peine et qu’il l’a envoyé dans un lieu aussi dur que l’afghanistan.
Or l’afghanistan est un bourbier meurtrier qui va durer de très très nombreuses années, tout le monde le sait. Seuls les intérêts des usa et la vengeance politique meurtrière d’un bush nous y a emmenés sous des faux prétextes.
Il faut rapatrier tous les soldats français de ce bourbier !!
Dans le même genre de situation, nous avons vu sarkozy en serviteur de bush, faire le nécessaire pour aggraver la situation avec la russie alors que c’est bien la georgie avec l’appui des usa qui a ouvert les hostilités. Cela parce que les usa veulent controler, comme en afghanistan tout le circuit du pétrole et du gaz.
En se faisant, sarkozy met la population française directement en danger de mort, car il enflamme et se positionne en bouclier entre les usa et la russie, mais les boucliers vivants sont les populations dont la population française de plus en plus exposée.
Sarkozy tue les français non seulement en augmentant leur participations aux guerres mondiales en serviteur absolu des usa mais aussi en prenant l’argent par des taxes directes ou indirectes et en redistribuant cet argent aux plus riches qui l’année dernière ont eu chacun en moyenne 470 000 euros de remboursement d’impôts.
Il vide volontairement les caisses publiques au profit des plus riches.
Il a choisi la politique de déstruction totale des services publics et vole la fortune et le patrimoine français pour les donner aux entreprises privées multinationales.
C’est lui qui par ses choix décomplexés de droite dure qui exploite, vole et tue la population française. Sa politique est désastreuse et la pire qui puisse exister car mortifère.
Son seul intérêt n’est que le sien, et NON sarkozy n’est pas la france, c’est la population française qui est la france et la majorité de la population n’est absolument pas d’accord avec ce qu’il fait. Mais cela n’intéresse pas sarkozy, la population n’a pas son mot à dire, ce ne sont que des "criminels" ou des esclaves qui doivent accepter de travailler plus pour ne pas gagner leur vie mais uniquement la perdre. Il nous a volé jusqu’à la démocratie en l’achevant définitivement avec ses "nouvelles lois constitutionnelles". Car il détruit et déstructure toute l’organisation de notre société pour appliquer des politiques états uniennes catastrophiques appliquées pendant l’entre deux guerres avec un échec fulgurant !
sarkozy n’est pas seulement le président de la perte du pouvoir d’achat, il est avant tout le président qui fait perdre la vie aux français et françaises !!
De combien de morts cet homme est-il déjà responsable ??
Combien vont encore mourir sous son règne odieux et destructeur ??
Le nombre de nos mortEs ne va cesser de croître, c’est certain !
Oui, c’est vraiment une période de deuil pour la france et sarkozy est directement responsable !
A titre d’informations voir aussi l’article sur Agoravox dont voici un extrait significatif :
En effet, dans l’émission Le Dessous des cartes, sur le terrorisme "global" ou "local", le spécialiste Jean-Christophe Victor est clair : le concept même de terrorisme global ou de guerre contre la terreur qui est défendue par l’administration américaine est faux, cela se veut une idéologie mobilisatrice, mais c’est inadapté et comme pensée politique et comme stratégie militaire. On ne peut pas vouloir faire en même temps la guerre à Al-Qaïda, aux talibans, au Hezbollah et à l’Iran en pensant qu’il s’agit du même ennemi, et c’est pourtant bien la position adoptée et par l’administration américaine et par le service de communication élyséen incarné par Sarkozy, prônant notamment l’idéologie d’une famille occidentale dont les intérêts communs prévaudraient au reste du monde... Et malgré cela, des journalistes opèrent dans leur entreprise de véritables propagandes de guerre, à l’image de cette édito vidéo de Christophe Barbier, au regard duquel on peut se demander mais quelle légitimité peut-on bien donner à une moralité encourageant les actes de guerre et ces crimes associés ? La guerre a-t-elle jamais créé la paix, et d’autant plus lorsqu’elle est clairement basée et de manière documentée sur de fausses idéologies ? La légitimité même de la guerre dans le monde, légalisée par des conventions, n’est-elle même pas elle-même à questionner ?
anik
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Les morts de sarkozy et de ses collabos4 novembre 2008, par anik
Silence, on tue !
Les rapports du ministère de l’Intérieur ne feront jamais état des centaines de nos frères abattus par les forces de police sans qu’aucun des assassins n’ait été inquiété », La Rumeur.
Les assassinats sont une pratique courante dans la police et la gendarmerie. En France depuis un an ce sont au moins 22 personnes qui ont été maltraitées à mort, descendues, fauchées, noyées par la police ou la gendarmerie ou poussées contre un mur lors d’une course poursuite avec ceux-ci. Comme d’habitude, aucun des tueurs ne fera de jour de prison. Ils sont protégés par leurs collègues, leur hiérarchie, leur syndicat, les procureurs, la justice, souvent aussi par les maires des communes où se produisent ces crimes et bien sûr par le ministère de l’intérieur.
L’assassinat en toute impunité est une pratique courante dans les corps de métier de la police et de la gendarmerie : depuis les rafles des anti franquistes, des juifs, des tziganes et des homosexuels pendant le régime vichiste pour les déporter en camps de concentration, à l’assassinat de jeunes des quartiers populaires à la peau pas assez blanche, en passant par les centaines de crimes commis par les forces de l’ordre le 17 octobre 1961, les assassinats ne sont pas des "bavures" mais bien une pratique courante de la police et de la gendarmerie, qui ne s’est jamais arrêtée.
La quasi totalité de ces crimes reste impunie, la quasi totalité des tueurs ne passe pas un seul jour en prison.Maurice Rajsfus, qui chapeaute l’OLP et rédige les bulletins "Que fait la police" rappelle que 196 cas de morts sous les balles de la police ont été recensés par lui dans la presse entre 1977 et 2001, ces morts étant majoritairement de jeunes mineurs, d’origine maghrébine, tués d’une balle dans le dos ou dans la nuque. Il évoque les meurtres mais aussi toutes ces « bavures par destination », provoquées par la peur de la police, qui accule au suicide, à la noyade, au refuge dans un transformateur électrique ou qui traumatisent des familles hantées par les coups de pied dans une porte accompagnés de l’injonction « Ouvrez, police ! ».
Voici les crimes des "forces de l’ordre" recensés depuis novembre 2007 :
Deux adolescents de 15 et 16 ans sont morts, à bord de leur mini-moto, après avoir été percutés par un véhicule de police en patrouille, le 25 novembre, vers 17 heures, à Villiers-le-Bel. (Source : Libération, 1er décembre 2007)
Le 3 décembre 2007, dans l’Océan indien, une petite embarcation, avec à son bord une quarantaine de Comoriens, qui tentent de rejoindre l’île de Mayotte (seul territoire français de l’archipel des Comores), pour y trouver du travail, entre en collision avec une vedette de la PAF. Il y a deux morts et huit disparus. (Source : France 3, 4 décembre 2007)
Le 8 janvier, à Noisy-le-Sec (93), un Algérien sans papier est accompagné à son domicile, aux fins de perquisition. De façon tout à fait étonnante, l’homme, menotté dans le dos, aurait réussi à donner un « violent coup de boule » à l’officier censé le surveiller. Puis, tournant le dos à la baie vitrée, aurait pu faire coulisser la porte fenêtre – sans que l’on s’aperçoive de son manège – avant de sauter dans le vide, depuis le 9e étage de l’immeuble. Une certitude pour l’ex-mari de la compagne de la victime : « Ce n’est pas un suicide, c’est un meurtre. Comment aurait-il pu ouvrir les fenêtres s’il avait des menottes ? ». Comme les policiers sont pleins de délicatesse, le corps est resté au pied de l’immeuble, de 11 heures à 13 heures, ses menottes ayant même été retirées. ( Sources : Libération et Métro, 9 janvier 2008)
Le 16 Janvier, un médecin qui allait être mis en garde à vue, pour viol, au commissariat d’Asnières (92), demande à aller aux wc, où il se tire une balle dans le cœur. Naïvement, nous avions toujours cru que toute personne qui doit être placée en garde à vue se voit retirer ses lacets, sa cravate ou sa ceinture, après qu’on lui a fait vider ses poches. Alors que, pour cette affaire, l’IGS va être chargée d’une enquête, on apprend que le commissariat d’Asnières n’était pas pourvu de portique de sécurité – d’où cette arme introduite subrepticement dans les locaux de police. Toujours est-il que des zones d’ombre existent toujours quand il y a mort d’homme dans un commissariat. (Source : 20 Minutes, 16 janvier 2008)
Le 24 janvier, un groupe de gendarmes s’applique à poursuivre le conducteur d’une voiture volée, à Neufchâteau (Vosges). Pris de panique le voleur cafouille, et stoppe sur un passage à niveau où un train est en vue. Aussitôt, les pandores, n’écoutant que leur courage, se transforment en “saute dessus”, mais un autre train arrive, qui fauche tout à la fois la voiture du petit voleur et les gardiens de l’ordre publique. Bilan : quatre morts dont trois jeunes gendarmes. (D’après France Inter, 25 Janvier 2008)
Le 18 février, à Itteville (91), un “forcené”, suivi depuis de nombreuses années pour des problèmes psychiatriques, qui venait de frapper sa mère, et de la blesser, est abattu par un gendarme qui avait d’abord tenté de le maîtriser à l’aide d’un taser. Faute d’y être parvenu, le pandore, s’estimant en légitime défense, face à un homme qui brandissait un couteau, a tiré sur lui à plusieurs reprises avec son arme de service. Dès le 19 février, le procureur de la République de l’Essonne annonçait que le flingueur était en situation de légitime défense. (Source : 20 Minutes, 19 et 20 février 2008)
Dans la nuit du 29 février au 1er mars, dans une grande artère de Colmar, un véhicule, avec quatre jeunes à bord, est pris en chasse par des policiers de la BAC. La course-poursuite, conduite à vive allure, s’engage. Comme trop souvent, le conducteur, affolé, perd le contrôle de sa voiture, grille plusieurs feux rouges, dérape, et percute deux autres voitures. Comme d’habitude, la police n’est pas coupable, et nul gardien de l’ordre public ne se soucie du fait qu’un simple délit de fuite ne mérite pas la peine de mort, abolie depuis 1981. Il n’en reste pas moins que deux garçons de moins de vingt ans ont laissé leur vie dans cette corrida ! (D’après France Inter, 1er mars 2008)
Le 5 mars, à Demangelle (Haute-Saône), un gendarme voulait procéder à l’interpellation d’un Turc, au domicile de ce dernier. Menacé d’une arme de poing et se sentant en légitime défense, le gendarme dégaine aussitôt, blessant gravement l’homme, aussitôt transporté en hélicoptère à l’hôpital de Dijon – son pronostic vital serait engagé, d’après une source médicale. (D’après Métro, 6 mars 2008)
A Lille, le 13 mars un jeune homme de vingt ans, accusé de viol, s’est précipité du deuxième étage, après son interrogatoire, alors qu’il s’apprêtait à signer le procès-verbal d’audition. Il est grièvement blessé. Précision : l’homme venait d’être libéré de ses menottes et aurait profité d’une ouverture de 30 centimètres pour sauter dans le vide. (Source : Libération, 14 mars 2008)
Le 14 août 2007, un médecin de Neuilly-sur-Seine (92) reçoit un coup de téléphone d’un commandant de police. L’information est des plus sobres : “Votre fils a pêté un plomb. Un fonctionnaire a dû faire usage de son arme. I1 est mort…” Le “mort” avait 37 ans, et laisse deux enfants. La veille, cet homme, déprimé, s’était disputé violemment avec sa petite amie. Des voisins ayant cru bon d’appeler les forces de l’ordre pour régler ce problème domestique, les policiers arrivent en nombre, casqués et bouclier en main, pour appréhender le “forcené”, à l’aide d’un flash-ball. Pourtant, l’homme s’est déjà blessé lui-même, ce qui permet aux policiers de le suivre à la trace dans sa fuite. Il n’en reste pas moins qu’un brigadier-chef, équipé d’un gilet pare-balle lourd, sort son arme, la tient à deux mains, tire – accidentellement, naturellement – et blesse mortellement l’homme affolé. Un an après, le flingueur n’est toujours pas mis en cause. (Source : Libération, 26 mars 2008)
Le 4 avril, vers 14 heures, en gare du RER, à Joinville-le-Pont (94), des policiers de la BAC, assistent des fiers-à-bras du GPRS (Groupe de protection et de sécurité du réseau) aux sorties des portillons. Ils avisent un homme qui, après avoir validé son titre de transport, et les apercevant, marque un temps d’arrêt puis tourne les talons. Prié de présenter une pièce d’identité, il montre sa carte Navigo. Comme il ne dispose que de ce document, les policiers lui demandent de les accompagner. C’est alors que cet usager du RER détale en direction du pont de Joinville, à quatre cents mètres de là, avec à sa suite les policiers à qui il vient de fausser compagnie. Arrivé sur le pont qui surplombe la Marne, il se jette à l’eau. Il sera retrouvé quinze minutes plus tard dérivant sur le fleuve. Ramené sur la berge par les pompiers, son cœur ne bat plus et il est pris en charge par le SAMU. Ranimé, il est transporté dans un état critique à l’hôpital Lariboisière où il décédera rapidement. (D’après France-Info, France Inter et Le Parisien-Aujourd’hui, 5 avril 2008)
Le 9 mai, dans l’après-midi, à Grasse (Alpes-Maritimes), suite à une altercation dans une agence bancaire, des policiers de la BAC, assistés par des policiers municipaux, interviennent en nombre et tabassent lourdement un jeune homme de 22 ans. Aux yeux des policiers, il a peut être tort de se prénommer Hakim.
Au commissariat de Grasse, en dépit de la tentative de réanimation, des sapeurs-pompiers et du Samu, pendant plusieurs dizaines de minutes, malheureusement sans succès, le décès a été constaté… (Source : Libération, 12 mai 2008)Le 23 mai, à Draguignan, un gendarme tire sur un gardé à vue, lequel, menotté, tente de s’évader en sautant par une fenêtre. N’écoutant que son courage, avec un grand sens du devoir, le pandore, après la sommation d’usage, tire sept balles dont trois vont frapper dans le dos – et au thorax – un jeune gitan, âgé de 26 ans, père de trois enfants, qui va mourir peu de temps après dans un jardin proche. (Sources : France Info, 24 mai, images de France 2 et France 3, Libération, 26 mai 2008)
Dans la nuit du 27 au 28 mai, rue du Faubourg Saint-Denis, dans le 10ème arrondissement de Paris, trois jeunes ont été blessés par balles, dont un grièvement, au cours d’une rixe avec deux policiers de la BAC, affectés au service régional des transports. Ces deux brigadiers, en civil, qui n’étaient pas en service, avaient « bu plus que raison » selon une source policière. Comme il n’est pas concevable que de respectables fonctionnaires d’autorité se battent comme des chiffonniers, et « défouraillent » tels des voyous, cette même source policière ajoutait : « L’enquête devra déterminer si la suite des événements procède du guet-apens de la part des jeunes ou de provocations de part et d’autre. » Toujours est-il que, se sentant en situation d’infériorité, l’un des deux policiers aurait effectué trois tirs de sommation en l’air, avant d’ouvrir le feu à plusieurs reprises sur les jeunes – l’un d’eux a été atteint aux reins et son pronostic vital est réservé. Un témoin, qui avait sans doute le tort de passer en voiture, et qui avait baissé sa vitre pour voir ce qui se passait s’est vu braquer un pistolet sur la tempe, sans la moindre explication. (Sources : Libération et France 3, le 30 mai 2008)
Dans la soirée du 19 juin, dans le quartier de La Nacelle, à Corbeil-Essonnes (91) des policiers sont appelés pour un différent familial : le mari, armé, menacerait ses proches. A l’arrivée des policiers, l’homme s’est déjà enfuit. Poursuivi, il est rejoint et aurait menacé les policiers, qui tirent cinq coups de feu, et tuent le “forcené” qui reçoit trois balles. En légitime défense, affirment les gardiens de l’ordre public, qui sont, malgré tout, placés en garde-à-vue. Comme à l’ordinaire, on fait savoir que l’homme était bien connu des services de police. (Sources : France Inter et France 3, 20 juin 2008)
Le 14 juillet, dans le 11ème arrondissement de Paris, trois policiers s’appliquaient à interpeller un homme qui brandissait un couteau. Un policier étant gravement blessé au cours de l’opération, les deux autres ouvraient le feu sur le « forcené », qui devait mourir de ses blessures (Sources : France 3, le 14 juillet et France 2, le 15 juillet 2008)
Deux morts, à moto, suite à une course poursuite conduite par des policiers dans la nuit du 19 au 20 juin. Cela se passait à Cambrai (Nord). Certes, l’un des deux motards était ivre, et l’autre ne portait pas de casque. Cela méritait-il la peine de mort ? (Sources : L’Est Républicain, 21 juin et Le Canard Enchaîné, 25 juin 2008)
Le 8 septembre, en fin de journée, dans le 12ème arrondissement de Paris, un motard de la police, pris de boisson, renverse une personne qui traversait la chaussée sur un passage protégé. Le motard devait rouler à vive allure et le choc était si violent que la victime se retrouvera avec une jambe et un bras sectionnés – elle décèdera de ses blessures en arrivant à l’hôpital. Selon les témoins, le motard circulait sans avoir actionné son gyrophare et pas davantage sa sirène. Relevé de ses fonctions, le policier sera poursuivi pour homicide involontaire aggravé. Il n’en a pas moins été laissé en liberté, sous contrôle judiciaire. (Source : France 2, les 10 et 11 septembre 2008)
Le 12 septembre, une femme de 40 ans décède dans une cellule de dégrisement dans un commissariat de police du 18éme arrondissement de Paris. Interpellée pour « ivresse publique », puis conduite à l’hôpital où elle allait être vue par un médecin, qui signait un certificat de non-admission, cette personne était ensuite ramenée au commissariat où elle devait décéder une heure et demie plus tard. (Source : 20 Minutes, 15 septembre 2008)
A Romans sur Isére le lundi matin 29 septembre, les policiers de la BAC de Romans ont poursuivi une voiture dans laquelle se trouvaient cinq adolescents, jusqu’à l’accident fatal. La voiture a été poussée à plusieurs reprises par l’arrière, par le véhicule de la BAC, alors qu’elle était en pleine lancée. Jusqu’à ce que la voiture conduite par un mineur de 16 ans aille s’encastrer dans un mur. Les heurts àl’arrière de la voiture ont vraisemblablement provoqué la perte de contrôle du véhicule conduit par le jeune Ilies. Celui-ci est mort peu de temps après l’accident. Trois des passagers ont été plongés dans le coma, et le dernier s’en est sorti avec de nombreuses blessures. (Source : Rebellyon.info)
Il n’est donc pas rare de tomber par la fenêtre d’un commissariat de police, de "se suicider" avec les menottes dans le dos, qu’une course-poursuite mettant en cause les forces de l’ordre se termine tragiquement ou encore que la police tue lorsqu’elle applique ses techniques pour "maîtriser" une personne.
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Que fait la justice ? -
Les morts de sarkozy et de ses collabos4 septembre 2008, par anik
33 ans elle se défenestre, 2 orphelins ce gouvernement a du sang sur les mains !?
je ne sais comment exprimer tout le dégout et la colère face à cette politique !
quand les français vont ils se réveiller ??????
Une mère de deux enfants s’est défenestrée ce mardi matin du logement qu’elle occupait au troisième étage d’un immeuble à Istres (Bouches-du-Rhône), dont elle devait être expulsée, a annoncé mardi la préfecture dans un communiqué.
« Ce matin (ndlr, mardi matin), à l’heure fixée pour une expulsion locative, qui devait s’effectuer sur décision judiciaire, une mère de deux enfants, âgés de 4 ans et 18 mois, s’est défenestrée du troisième étage du logement qu’elle occupait dans le quartier Rassuen à Istres », précise le communiqué de la préfecture.
« Agée de 33 ans, elle est malheureusement décédée des suites de ses blessures », poursuit le communiqué, en ajoutant que « les enfants ont été confiés aux parents de la victime ».
Selon la préfecture, la jeune femme n’avait pu bénéficier des démarches d’accompagnement social et d’aide aux locataires en difficulté car elle n’avait pas répondu aux demandes de rendez-vous que l’Office public d’aménagement et de construction (Opac) et la Caisse centrale d’activités sociales (CCAS) lui avaient proposés.
http://www.liberation.fr/actualite/...Source : Bellaciao
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